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Vieux 14/08/2018, 12h48   Afficher une version imprimable   (1)
maloute45
Raspberry and Plum


Léon julien
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Découverte des Premiers Paradisiers

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DECOUVERTE DES PREMIERS PARADISIERS

Les Oiseaux de Paradis sont, de l'avis général, les plus beaux oiseaux du monde.
Il est indéniable qu'ils possèdent un plumage éblouissant par la richesse et la diversité
des couleurs et surtout par un déploiement des plumes effervescentes vraiment surprenant.

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ID : 118032
Le Paradisier à rubans (Astrapia mayeri).
Les indigènes lui ont donné comme nom « kugo » au mâle et « togi » à la femelle.


Ces oiseaux habitent l'ancienne Papouasie, c'est à dire les vastes et denses forêts de la
Nouvelle-Guinée, l'une des plus grandes îles du monde, ainsi que Le petit archipel des îles
Arou et autres petites îles avoisinantes.

Quatre espèces appartenant à trois genres différents, se rencontrent également dans la
partie Nord-Est de l'Australie.
Dans un lointain passé, les Paradisiers étaient connus comme des oiseaux de légende auxquels
on attribuait une origine céleste et qui n'avaient nul besoin de toucher la terre.
Venant du Paradis, dépourvus de pattes (apodes), ils parcouraient l'espace en se nourrissant
des effluves de l'atmosphère.

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Couple de Paradisiers de Goldie, mâle en haut (Paradisaea decora).
Ottaviani (2012) a décrit une séquence vidéo extraite du site Cornell Lab of ornithology et
filmée par Tim Laman.
Elle révèle une parade collective mettant en scène deux mâles et deux femelles.
Les mâles rivalisent de beauté en exhibant leur plumage puis, le corps tenu à la verticale
la tête en bas, l’un à côté de l’autre, ils lancent une série de co-co-co-co-co-co-co-co, chaque
note émise est reprise par son rival pour former une strophe semblant provenir d’un seul individu.
Pendant ces démonstrations visuelles et sonores, les femelles sautillent de branche en branche
et observent tour à tour chacun des mâles, semblant évaluer les qualités des deux prétendants.


Leurs rares dépouilles, provenant d'oiseaux séché à la fumée d'un feu de bois, et ayant
et leurs pattes coupées par les indigènes, avaient sanctionné cette croyance.
Il faudra attendre un certain nombre d'années, afin d'obtenir les premiers renseignements
valables concernant ces oiseaux, et ce sont les navigateurs qui nous les fourniront.

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(1) Portrait anonyme de Fernand de Magellan, XVIe ou XVIIe siècle
Mariners' Museum, Newport News (Virginie)
(2) Portrait traditionnellement présenté comme celui d'Antonio Pigafetta.
Marin et chroniqueur italien du XVIe siècle qui a participé sous les ordres de Magellan puis
Juan Sebastián Elcano au premier voyage des Européens autour du monde et qui en a laissé
la chronique la plus complète et la plus célèbre, celle sur laquelle se basent tous les travaux
relatifs au voyage de Magellan.
(3) Portrait de Conrad Gessner (aussi : Konrad Gessner, latin : Conradus Gesnerus).
Naturaliste Suisse, son Historiae animalium (1551-1558) est le premier ouvrage de zoologie
moderne visant à décrire tous les animaux connus, dont les oiseaux.
.


Ainsi en 1519, Fernand de Magellan (Fernão de Magalhães en portugais, Fernando de
Magallanes en castillan), au service de l'Espagne, prend le commandement de cinq navires
et de 273 hommes d'équipages pour un voyage autour du monde.
Magellan devait être tué à la suite d'un combat avec des indigènes des Philippines et, trois
ans plus tard, on ne vit revenir à Séville qu'un seul navire et seulement dix-huit hommes.

Son fidèle compagnon, le chevalier italien Antonius Pigafetta, pu alors remettre au roi d'Espagne
les dépouilles de deux Paradisiers offertes par le prince de Batjan, souverain d'une petite
îles des Moluques.
Dans la relation du voyage parue plus tard, Pigafetta écrivit au sujet de ces oiseaux " l'oiseau
a la grosseur d'une Grive, la tête petite et le bec long, les jambes de la grosseur d'une plume
à écrire d'une palme de long, la queue ressemble à celle de la Grive, il n'a point d'ailes mais
à leur place il y a de longues plumes de différentes couleurs, semblables à des aigrettes…..
On dit qu'il vient du Paradis terrestre et on l'appelle "Bolon Dionata, c'est à dire : Oiseau
de Dieu"

Un fait est acquis : l'Oiseau de Paradis, possède deux pattes, comme tous les oiseaux du
monde, mais l'erreur reste enracinée, et un savant de l'époque, comme "Aldrovande", fait
partie de ceux qui croient toujours à l'existence de l'oiseau apode.

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Nom : Cicinnurus_regius-20031005.jpg
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(1) Couple de Paradisiers de Lawes, mâle en haut (Parotia lawesii) -
(2) Le Paradisier splendide (Astrapia splendidissima) -
(3) Le Paradisier royal (Cicinnurus regius) .

Un peu plus tard, lors de son voyage dans le Proche-Orient durant les années 1546 à 1549,
le Français Pierre Belon, s'arrêtant à Constantinople, remarque à la cour du Sultan, que les
janissaires de sa garde utilisent comme ornement dans leurs tenues, des plumes de Paradisiers,
comme les Rajahs de l'Inde.

Se rendant ensuite en Palestine et en Egypte, Pierre Belon va découvrir chez les marchands
de nombreuses dépouilles d'oiseaux exotiques, apportées par les caravaniers venant de l'Inde,
suivant en partie l'itinéraire d'Alexandre le Grand.
N'oublions pas que, depuis longtemps, cette contrée de la Méditerranée Orientale était un
lieu de rencontre et d'échanges avec l'Afrique et l'Asie.

A peu près à la même époque, c'est à dire en 1555, le Suisse Conrad Gessner fera paraître
le troisième livre de son "Histoire des Animaux", traitant des oiseaux et dans lequel nous
trouvons la première illustration d'un Oiseau de Paradis, image bien imparfaite de Paradisea
apoda.

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Nom : Paradisaea_apoda_-Bali_Bird_Park-6.jpg
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ID : 118060
Clichés 1 et 3 = Paradisier Grande Emeraude (Paradisaea apoda) vu de profil.
Cliché 2 = Paradisier Grande Emeraude (Paradisaea apoda) vu de dos.


Ce n'est que beaucoup plus tard, en 1758, que Carl von Linné va introduire le genre Paradisea dans
la dixième édition de son "Systema Naturae", dans lequel il applique la première nomenclature
binaire.
En indiquant 'les Indes" comme terre d'habitat de ces oiseaux, il cite les deux espèces suivantes
le Grand Paradisier et le Paradisier royal.

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Nom : Epimachus_albertisii_by_Bowdler_Sharpe.jpg
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Nom : Epimachus_fastuosus_by_Bowdler_Sharpe.jpg
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Nom : Paradisaea_rudolphi_by_Bowdler_Sharpe.jpg
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(1) Couple de Paradisiers d'Albertis (Drepanornis albertisi auparavant Epimachus albertisi)
(2) Le Paradisier fastueux (Epimachus fastosus anciennement Epimachus fastuosus)
(3) Le Paradisier bleu (Paradisaea rudolphi).
Ces espèces sont classées comme « vulnérables » en raison des deux menaces principales :
la dégradation de leurs habitats et la chasse pour leurs plumes ornementales.

Il faut attendre maintenant le commencement du XIXe siècle pour obtenir des renseignements
plus précis sur la vie des Paradisiers dans leur pays d'origine et collectionner de nouvelles
espèces.
Deux savants naturalistes vont nous les fournir, après avoir séjourné aux Moluques et en
Nouvelle-Guinée.

D'abord un Français, René Lesson, qui s'embarque en 1822 sur la corvette "La Coquille"
commandée par le capitaine Duperrey, pour accomplir Letour du monde.
Le voyage va durer quatre ans, de nombreux pays seront visités, notamment la Nouvelle-
Guinée.
Là, pendant quatorze jours, Lesson fit de précieuses découvertes et observa dans les grandes
forêts le comportement des Paradisiers.
Revenu en France, il fera paraître son "Histoire des Oiseaux de Paradis et des Epimaques",
illustrée de planches coloriées.

A son tour, le naturaliste anglais Russel Wallace, va nous donner d'autres informations sur
la vie de ces oiseaux.
En effet, en 1824 il partira pour l'Archipel Malaisien et, pendant huit années, dans cette
partie du monde encore mal connue, visitera la plupart des îles, de Sumatra à la Nouvelle-
Guinée.
Ainsi en décembre 1831 il quitte l'Île de Céram, dans les Moluques, pour les Îles Arou, à la
découverte des Paradisiers.

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Nom : Parotia_sefilata.jpg
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Nom : Parotia_sefilata_1982_Indonesia_stamp.jpg
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ID : 118046
Couples de Paradisiers Sifilet (Parotia sefilata)- Illustrations et Timbre-poste.
La parade nuptiale du Paradisier Sifilet mâle est orchestrée avec attention afin d'attirer
l'attention des femelles.
Il dansera avec frénésie pour chaque prétendante se posant sur la branche située au dessus
de la piste qu'il a préalablement nettoyée.

Wallace va apprendre que chaque année des navires arrivent dans ces îles pour y prendre
des perles, de la nacre, des écailles de tortues et des dépouilles d'oiseaux, parmi lesquelles
celles des Paradisiers.
Ces navires repartent ensuite les uns pour l'Europe, les autres pour l'Inde et la Chine.

Temporairement fixé à la petite Île Wokan, il se met en rapport avec des chasseurs indigènes
et ceux-ci lui montrent la façon de garnir leur flèches d'un cône de bois très dur, afin de tuer
l'oiseau d'un seul coup, sans blessures apparente, pour ne pas endommager le plumage.
Le premier oiseau ainsi abattu fut un Paradisier royal et, devant la beauté et la richesse de
ce plumage dans toute sa splendeur, Wallace poussa des cris d'admiration en disant :"Voici
un de mes rêves de ma vie accompli".

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Nom : 1280px-Paradisaea_minor_(Lesser_Bird_of_Paradise).jpg
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ID : 118051
Paradisier Petit-Emeraude - (Paradisaea minor)
C’est René Lesson qui semble être le premier européen à avoir observé ce Paradisier en
milieu naturel en 1824.
Il rapporte : « Volant au-dessus de nos têtes avec légèreté, il ressemble à un météore dont
la queue de feu laisse une traînée de lumière... »

En 1832, l'expédition terminée, il rentre en Angleterre, rapportant de nombreuses dépouilles
d'oiseaux et deux mâles vivants du Paradisier Petit - Emeraude (Paradisaea minor) qu'il avait
acheté à Singapour et qu'il offrit au Jardin Zoologique de Londres.

Maintenant, la Nouvelle- Guinée, immense réserve de si beaux oiseaux, attire des naturalistes
de tous pays, malgré des dangers réels.
L'ont peut ainsi citer l'Anglais Bennet, le Hollandais de Rosenberg, le Français Raifray et
l'Italien d'Albertis, ce dernier, attaqué par les indigènes lors de son cinquième voyage, faillit
y perdre la vie.
Durant ces mêmes années, l'industrie de la Plumasserie, destinée à la parure féminine, ayant
ajouté à sa liste des oiseux destinés à ce commerce, les Paradisiers, un grand marché s'organise
et certaines années plus de 50.000 de leurs dépouilles sont envoyées en Europe.

Devant ces massacres, des protestations s'élèvent de tous côtés et, en 1913, la chasse aux
Paradisiers fut soumise à une certaine réglementation.
Après la première guerre mondiale, à la suite d'une entente internationale en 1924, une
prohibition complète fut étendue à tous les oiseaux victimes de ce commerce, el les jolis
Oiseaux-mouches, furent aussi sauvés.
Du reste, une autre époque venait de naître et la mode féminine avait complètement changé.

m@loute45.





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Si vous avez des anecdotes, des suivis d'élevage, des histoires sur les oiseaux
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Amicalement vôtre

Dernière modification par maloute45 ; 15/08/2018 à 15h43.
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