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Le Diamant de Peale.
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[B][FONT="Arial Black"][SIZE="1"][COLOR="Black"] LE DIAMANT DE PEALE - (Erythrura pealii).[/COLOR][/SIZE][/FONT][/B]
[B][FONT="Arial Black"][COLOR="Gray"]Le dessin de ce Diamant correspond en grandes lignes avec celui du "Diamant de Gould" et plus encore avec le dessin du "Pape de Nouméa", avec lequel des croisements ont été obtenus. Le tendeur H.Breguilla a publié dans la revue spécialisée [SIZE="1"][COLOR="Black"]"Die Gefiederte Welt" (Année 1962 page 123)[/COLOR][/SIZE] une description détaillée au sujet de leur vie sauvage, dont j'emprunte ce qui suit :[/COLOR][/FONT][/B] [ATTACH]119194[/ATTACH] [ATTACH]119195[/ATTACH] [ATTACH]119196[/ATTACH] [I][FONT="Arial"][COLOR="Black"] *1) Un Diamant de Peale dans son environnement naturel. *2) Dessin d'Herbert Goodchild (1911). *3) Les oisillons de Diamants de Peale ont des papilles bleues dans les coins de l'ouverture du bec, et des marques noires caractéristiques. [/COLOR][/FONT][/I][B][I][FONT="Arial Black"][COLOR="Gray"]…"L'île Fidji-Levu comprend de grandes étendues d'herbe garnies de broussailles basses. Les criques ainsi que les collines basses vers l'intérieur présentent un paysage de buissons épars et la forêt tropicale ne progresse jusqu'à la côte qu'en quelques rares endroits. C'est dans ces savanes, généralement à l'orée des bois, que vivent les Diamants de Peale par couple ou quelquefois par volées. Ils se nourrissent principalement de semences de graminées et de fleurs. Ils sont assez vifs et adroits, aussi bien sur le sol que parmi les branches et visitent parfois les champs ainsi que les jardins des grandes agglomérations. Lorsque le riz commence à mûrir, des volées comprenant des centaine d'individus s'abattent dans les rizières, ces bandes d'oiseaux y font de gros dégâts. A la tombée du jour, les oiseaux retournent vers leurs dortoirs dans les bois, pour revenir le lendemain dans le même champs. Ils nichent tout au long de l'année dans les broussailles et dans les manguiers."..... [/COLOR][/FONT][/I][/B] [ATTACH]119197[/ATTACH] [B][FONT="Arial Black"][COLOR="Gray"]En 1912, les premiers résultats d'élevage furent obtenus au Zoo de Londres, et plus tard des succès furent notés dans le monde entier. Jadis, les importations ne comprenaient que de rares sujets, mais en 1960 un grand nombre de ces Diamants se sont reproduits dans les volières d'amateurs. Ces captifs avaient comme menu, beaucoup de vers de farine, des graines germées (alpiste, avoine, millets, oeillette), de l'eau miellée et, en guise de pâtée, du pain ou du biscuit trempé dans l'eau miellée. Les nouveaux-venus doivent avoir l'occasion de prendre beaucoup d'exercices, car s'ils sont logés en cage, ils dépérissent rapidement. Ce ne sera que lorsqu'ils seront bien acclimatés qu'ils pourront être logés en grande cage ayant au moins une surface de 1 X 0,50 m sur une hauteur d'un mètre. Les oiseaux nés chez nous, se contente d'une grande cage d'élevage et y élèvent deux à trois nichées par année. Le mâle construit son nid ovale dans un nichoir, en employant des brins d'herbe et des fibres de Coco,les 4 œufs sont couvés par les deux parents en 13-14 jours. Les éleveurs professionnels font généralement appel a des Moineaux du Japon pour couver et élever les jeunes, pourtant lorsque l'on dispose d'oiseaux calmes, les parents s'en chargerons très bien. Le Dr. R. Burkard (Suisse) a possédé un grand nombre de ces Diamants. Il à constaté, que dans une grande volière, ces oiseaux ne sont pas plus sauvages que d'autres Erythrurés et certains couples ont même produit jusqu'à 4 nichées par saison, il faut pourtant essayer de limiter les couvées, afin que les parents ne s'épuisent pas ! Ces Diamants supportent bien les écarts de température, ils peuvent être logés en volière extérieure même en hiver. Lorsque la volière comprend aussi des Papes de Nouméa, les oiseaux ont tendance à échanger leur partenaire, ce qui semble prouver qu'il s'agit d'une espèce proche. Les sons qu'ils émettent sont d'ailleurs fort ressemblants, mais ils ont un comportement différent lors des repas. Le Diamant de Peale aime voler vers son perchoir en portant quelque nourriture, qu'il déguste en le tenant dans une patte et en picorant les petits bouts. Ils se peut, que ces oiseaux se comportent de la même manière à l'état sauvage, arrachant un fruit pour le manger sur une branche. Pendant le repas, la nourriture passe et repasse du bec vers la patte. Un bon couple se montre très lié, les deux partenaires se reposent côte à côte en se pressant l'un contre l'autre. Dans cette attitude, ces oiseaux aux formes trapues rappellent quelques peu les petits Perroquets. [/COLOR][/FONT][/B] [I][FONT="Arial"][COLOR="Black"] m@l#ute45. [/COLOR][/FONT][/I] |
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