Shama à croupion blanc.
 

[B][FONT="Arial Black"][SIZE="1"][COLOR="Sienna"]SHAMA A CROUPION BLANC - (Copsychus malabaricus) .[/COLOR][/SIZE][/FONT][/B]

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[I][FONT="Arial"][COLOR="Black"]De gauche à droite, premier cliché mâle du Shama à croupion blanc
sur le second, la femelle[/COLOR][/FONT][/I].

[B][FONT="Arial Black"][COLOR="Gray"] Ce genre comprend 17 espèces qui varient considérablement en taille et en couleurs.
Ils sont sédentaires, et vivent par couple ou en solitaires dans les bois de bambous longeant
les rivières, souvent ils recherchent un perchoir sur une branche basse.

Ils trouvent leur nourriture surtout sur le sol, elle consiste en insectes divers.
Leur beau chant, qui leur a valu leur grande popularité, retentit surtout le matin et le soir.
En Inde, le Shama occupe la place qui chez nous set réservée au Rossignol.

Le nid se trouve sur une souche ou dans le creux d'un arbre, il a la forme d'une coupe
lâchement construite de rameaux et de radicelles.
Les 4 œufs vert olive sont tachetés de macules bleues.

Dès 1880, les premiers Shamas furent importés vers l'Allemagne, c'étaient de jeunes
sujets élevés à la main et très familiers.
On les gardait surtout en grande cage et avec de bons soins, ils parvenaient à l'âge avancé
de 12 à 26 ans.

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Cet oiseau ajoute a son propre chant varié des strophes empruntées a divers chanteurs
de son voisinage, il est donc bon de ne le garder qu'en compagnie d'excellents chanteurs.
Ce sont des oiseaux très vifs, qui aiment dominer leurs cohabitants.
Leurs mouvements sont rapides et précis, ils hochent souvent la queue et prennent des
positions curieuses.
Ils se servent également de leurs queues pour exprimer leurs sensations.

En général, ils deviennent tellement familiers, qu'ils acceptent les vers de farine de la main,
même s'ils habitent une volière.
Il ne faut jamais les loger avec des congénères où avec des espèces plus petites.
Les Bulbuls, les Verdins, les diverses Grives, le Merle Dyal et d'autres espèces de même taille
conviennent comme compagnons.

Suivant l'expérience des amateurs, il vaut mieux loger ensemble un groupe assez nombreux
que de faire cohabiter deux sujets, le danger résultant de l'instinct dominateur d'un oiseau
déterminé, se réduit à mesure que le groupe des cohabitants est plus grand.

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Il faut présenter ) ces oiseaux une bonne pâtée universelle, en y ajoutant comme complément
des larves de fourmis secs et des vers de farine, que l'on donnera en petites rations dispersées
sur toute la journée.

Pour varier le régime, un peu de viande maigre, râpée et crue, du chènevis écrasé, de l'œuf
cuit dur, du fromage blanc, des moreaux de fromage dur, des raisins de Corinthe, des baies
de sureau et des raisins secs coupés peuvent être ajoutés à la pâtée.

De nombreux élevages ont été réalisés en grande volière bien plantée, la dense végétation
offrira à la femelle des abris où elle peut se cacher de l'ardeur du mâle.
Dès que le nid a été construit dans un nichoir ouvert, au moyen de mousse végétale et de
fibres de coco, la paix régnera au sein du couple.

La femelle couve seule pendant treize jours et c'est elle qui nourrit les jeunes au nid.
L'envol a lieu après douze jours et ils seront alors soigné par leur père.
En période de reproduction, il est conseiller de leur présenter le plus grands nombres d'insectes divers vivants possible (ils raffolent de pucerons vert qui se trouvent sur les feuilles de rosier).
Parfois deux nichées se suivent . :da7:

m@loute45.




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