maloute45
16/06/2016, 20h46
Comment un oiseau peut-il être jugé excellent et se voir attribuer le plus haut accessit
alors que le même sujet, présenté ultérieurement à l'appréciation d'un autre juge dans des
conditions similaires se voit relégué au bas du classement et considéré, à tort ou a raison,
comme un oiseau moyen, voire insuffisant....
Avant de poursuivre, ce billet n'a pas pour vocation ni d'alimenter ni de surenchérir une
quelconque polémique qui pourrait exister entre les amateurs passionnés et les juges de
quelque obédience qu'ils soient.
Le respect de l'être humain et de ses convictions impose que nul ne soit montré du doigt
et précise que cette intervention, qui s'inscrit dans un but totalement constructif, soit compris
comme tel...
107678
Le jugement des oiseaux suppose un ensemble de qualités définissant une vision idéale du
sujet exposé et qu'il n'y a en cela rien de mathématique avec toute la précision sous- entendue
et que le facteur humain influence inévitablement le choix des juges.
Si nous sommes d'accord sur le fait que les préférences de chacun jouent inconsciemment
un rôle et que le juge va évaluer un groupe d'oiseaux de manière subjective que ce soit pour
l'un en fonction des proportions corporelles de l'oiseau et pour l'autre de la qualité de la
couleur ou du plumage, force de constater que ces considérations ne peuvent, à elles seules,
expliquer les divergences en matière d'appréciations des sujets présentés.
L'écart des points entre les jugements est parfois tel que la subjectivité ne peut, à elle seule,
être invoquée.
C'est parfois la douche froide pour l'amateur qui fonde beaucoup d'espoir sur le fruit de sa
passion et qui voit tour à tour son travail récompensé ou au contraire balayé du revers de la main.
Si l'éleveur se doit d'admettre la décision du juge, la répétition de jugements contradictoires
amène inévitablement à l'incompréhension, à la désillusion, et parfois au renoncement.
Si nous faisons le bilan des problématiques précédemment évoquées, force est de constater
qu'il n'y a rien d'inextricable et je pense que de cette petite discussion naîtra la concertation.
Nul n'ayant la science infuse, les amateurs et les juges ont à gagner à travailler ensemble
et surtout beaucoup d'expérience à partager pour faire progresser notre passion à tous.
maloute45.
alors que le même sujet, présenté ultérieurement à l'appréciation d'un autre juge dans des
conditions similaires se voit relégué au bas du classement et considéré, à tort ou a raison,
comme un oiseau moyen, voire insuffisant....
Avant de poursuivre, ce billet n'a pas pour vocation ni d'alimenter ni de surenchérir une
quelconque polémique qui pourrait exister entre les amateurs passionnés et les juges de
quelque obédience qu'ils soient.
Le respect de l'être humain et de ses convictions impose que nul ne soit montré du doigt
et précise que cette intervention, qui s'inscrit dans un but totalement constructif, soit compris
comme tel...
107678
Le jugement des oiseaux suppose un ensemble de qualités définissant une vision idéale du
sujet exposé et qu'il n'y a en cela rien de mathématique avec toute la précision sous- entendue
et que le facteur humain influence inévitablement le choix des juges.
Si nous sommes d'accord sur le fait que les préférences de chacun jouent inconsciemment
un rôle et que le juge va évaluer un groupe d'oiseaux de manière subjective que ce soit pour
l'un en fonction des proportions corporelles de l'oiseau et pour l'autre de la qualité de la
couleur ou du plumage, force de constater que ces considérations ne peuvent, à elles seules,
expliquer les divergences en matière d'appréciations des sujets présentés.
L'écart des points entre les jugements est parfois tel que la subjectivité ne peut, à elle seule,
être invoquée.
C'est parfois la douche froide pour l'amateur qui fonde beaucoup d'espoir sur le fruit de sa
passion et qui voit tour à tour son travail récompensé ou au contraire balayé du revers de la main.
Si l'éleveur se doit d'admettre la décision du juge, la répétition de jugements contradictoires
amène inévitablement à l'incompréhension, à la désillusion, et parfois au renoncement.
Si nous faisons le bilan des problématiques précédemment évoquées, force est de constater
qu'il n'y a rien d'inextricable et je pense que de cette petite discussion naîtra la concertation.
Nul n'ayant la science infuse, les amateurs et les juges ont à gagner à travailler ensemble
et surtout beaucoup d'expérience à partager pour faire progresser notre passion à tous.
maloute45.