maloute45
02/05/2016, 12h19
Les qualités anciennes s'additionnant avec les mérites acquis, on pourrait croire qu'il suffira
de croiser entre eux deux sujets d'élite, issus de même parents, pour créer une lignée
particulièrement méritante.
L'expérience prouve quelquefois le contraire...dans un élevage où les sujets, issus de la même
souche, sont élevés en consanguinité pendant huit à dix ans on arrive parfois à constater que
les qualités s'excluent et que les défauts s'additionnent.
On dit alors que l'élevage est à bout de course.
Il est alors de toute nécessité de "rafraîchir" le sang en introduisant un mâle reproducteur
d'élite, pris chez un amateur réputé pour les nombreux succès dans maints concours.
Et ceci n'est pas seulement vrai pour l'élevage des Canaris, mais aussi, bien entendu, dans
tous les élevages d'oiseaux, toutes espèces confondues.
La consanguinité est favorable, en opérant pendant un certain temps avec des sujets de
qualités irréprochable.
Elle devient très mauvaise si on la poursuit indéfiniment sans apport d'un sang nouveau.
de croiser entre eux deux sujets d'élite, issus de même parents, pour créer une lignée
particulièrement méritante.
L'expérience prouve quelquefois le contraire...dans un élevage où les sujets, issus de la même
souche, sont élevés en consanguinité pendant huit à dix ans on arrive parfois à constater que
les qualités s'excluent et que les défauts s'additionnent.
On dit alors que l'élevage est à bout de course.
Il est alors de toute nécessité de "rafraîchir" le sang en introduisant un mâle reproducteur
d'élite, pris chez un amateur réputé pour les nombreux succès dans maints concours.
Et ceci n'est pas seulement vrai pour l'élevage des Canaris, mais aussi, bien entendu, dans
tous les élevages d'oiseaux, toutes espèces confondues.
La consanguinité est favorable, en opérant pendant un certain temps avec des sujets de
qualités irréprochable.
Elle devient très mauvaise si on la poursuit indéfiniment sans apport d'un sang nouveau.