maloute45
20/04/2015, 11h05
Lorsque l'on parle de l'acclimatation des oiseaux exotiques, on se réfère à la période
située entre leur acquisition et le moment, indéterminé, où l'on considère qu'ils se sont bien
adaptés à leur nouvel environnement et que leur survie est assurée.
100496
L'un des meilleurs critères de l'acclimatation d'une espèce exotique est certainement la
nidification en captivité.
Chez les espèces non liées directement à l'élevage en captivité, l'effort que la nature déploie
pour assurer le phénomène de la reproduction, exige des conditions bien supérieures à celles
requises pour la survie.
Cette observation signifie que les oiseaux qui nichent sont des spécimens suivant un cycle
vital complet et que par conséquent, les reproducteurs sont des oiseaux sains et vigoureux.
100497
Une grande partie des amateurs se contente bien souvent d'abriter chez eux des spécimens
décoratifs ou de bons chanteurs, sans chercher pour autant à en faire l'élevage.
Les exigences sont alors moindres, et c'est ce que je vous propose de considérer maintenant.
La pratique de l'élevage d'oiseaux exotiques en cage proprement dite ne sera pas traitée ici.
L'acclimatation des oiseaux, période difficile, nécessite l'intervention de l'amateur.
Comme cette période signifie déplacement du sujet et modification de son environnement
le choix de l'individu est très important !
Il convient de consulter un spécialiste sur le type de cage appropriée, l'emplacement de celle-
ci, la présence d'autres oiseaux, le régime à suivre, la longévité probable et toute une
série de questions.
100498
Si vous devez acquérir des oiseaux chez des éleveurs limitrophes (Pays-Bas, Allemagne,
Angleterre, Canada, ...) il faut avant tout protéger les oiseaux contre de trop brusques
changements de température qui les affecteraient gravement.
On les habitueras progressivement à des températures plus tempérées, sans trop s'éloigner
toutefois de leur milieu naturel, afin de ne pas entraver leurs développements.
Signalons que certains pays exigent pour tout franchissement de frontière un certificat de
santé établit par un vétérinaire.
Une quarantaine est imposée aux oiseaux importés afin d'éviter la pénétration de maladies
infectieuses, dont ces espèces seraient porteuses, sur notre territoire.
Quelques temps avant d'entreprendre le voyage, il est bon d'administrer aux oiseaux une
solution vitaminique afin de renforcer ses mécanismes de défense.
La prudence est de bon conseil et l'on agira en tenant compte de l'espèce et de la situation
de départ.
100499
A envisager également, le recours à un antibiotique a large spectre, c'est-à-dire dont l'effet
porte sur divers types de micro-organismes.
Ceci permet, bien entendu, de protéger momentanément contre un grand nombre de maladies
infectieuses, mais comporte de graves inconvénients.
En effet, le corps des oiseaux et essentiellement leur système digestif abrite des colonies de
bactéries utiles qui risquent d'être détruites par ce type d'antibiotique au point que les
oiseaux en souffrent.
Par ailleurs, il est interdit d'administrer des médicaments aux oiseaux soumis à une
quarantaine, ceci afin d'éviter de masquer une maladie latente sous le couvert
d'antibiotiques ou de tout autres médicaments et qui pourrait se développer une fois l'oiseau
autorisé à pénétrer sur le territoire.
Pour de long trajet, si les oiseaux doivent voyager en avion, il est préférable de les loger
dans une petite cage plus ou moins rectangulaire dont les parois sont toutes en bois, sauf
une grillagée, qui sera bien rembourrée intérieurement et garnie de paille ou de sciure.
On veillera à déposer dans la cage quelques graines et une éponge imbibée d'eau, peu avant
le départ.
Les oiseaux, une fois dans leur nouvelle demeures, devront en règle générale, être laissés au
calme et ne pas être trop dérangés, précaution qui est de toute façon une règle d'or avec les
espèces exotiques.
Il faut résister à la tentation de les caresser et de passer la main à travers les barreaux, car
cela risquerait de provoquer un stress chez les plus sauvages d'entre eux.
Il faut savoir que les spécimens les plus farouches courent le risque de petites blessures ou
de fractures provoquées par les mouvements de panique car leurs extrémités sont
extrêmement délicates et leur plumage pourrait s'abîmer.
100501
je tiens à rappeler qu'il faut saisir un oiseau en plaçant la paume de la main sur son dos et en
refermant les 5 doigts sur ses ailes délicatement refermées.
Il ne faut jamais prendre un oiseau par une patte, elle risquerait bien vite de se fracturer.
Il faut en quelque sorte l'emprisonner et lui ôter toute possibilité de mouvement à l'exception
de la tête et éventuellement des pattes.
Il est bon de se documenter amplement sur les espèces que l'on possèdent.
Les nombreuses questions que l'on se pose, trouveront sans doute réponse sur le NET ou
dans un ouvrage ornithologique spécialisé, pourvu qu'on en fasse la recherche.
Dans le cas précis de l'acclimatation d'un oiseau exotique, connaître son mode de vie en
milieu naturel aidera à mieux le soigner et à faire face a toutes sortes d'éventualités.
Toute information transmise par d'autres amateurs chevronnés ou encore par l'oiseau
lui-même, deviendra un précieux outil.
Les piafs nouveaux-venus devront rester quelques jours dans des conditions de température,
de lumière et d'humidité constantes, afin que le nouveau propriétaire puisse observer leurs
réactions et s'assurer ensuite de leur adaptation progressive.
En ce qui concerne l'alimentation, au cours des premiers jours, il est inutile de suivre le
régime préconisé pour l'espèce choisie.
Il faut en revanche, veiller à présenter une nourriture très variée parmi laquelle l'oiseau
picorera ce que bon lui semble, ceci afin qu'il ne s'affaiblisse pas.
Ce n'est qu'ensuite qu'on l'habituera peu a peu aux aliments qui lui conviennent, en tenant
compte des conseils donnés.
Il n'est pas bon de vouloir que l'oiseau s'adapte très rapidement à un régime alimentaire
rigoureux.
100500
Un autre cas de figure impliquant également une acclimatation progressive, est celui de
l'introduction de nouveaux arrivants dans une volière ou quelques exemplaires d'une espèce
vivent avec bonheur depuis un certain temps.
L'arrivée des intrus suppose un phénomène d'acclimatation relativement complexe.
En effet, les nouveaux venus doivent accepter les anciens résidents et être acceptés à leur
tour par ceux-ci.
Comment peut-on résoudre dette situation ?
En fait, il n'existe guère de formule précise?
Prudence et patience sont les meilleures conseillères, mais il faut effectuer les présentations
à une période où l'on est suffisamment disponible pour pouvoir suivre le processus de façon
discrète mais vigilante et intervenir si cela devient nécessaire.
Une observation suivie des oiseaux et un peu de bon sens permettent de résoudre les
problèmes sans trop de difficultés.
100506
A supposer que la densité de la population de la volière ne soit pas un motif d'agression en
soi-même après l'introduction d'intrus.
Le phénomène qui intervient se situe en fait à deux niveaux : l'installation constitue un
espace occupé par des résidents qui l'ont divisé en territoires individuels, de couple, de
groupe ou de communautés qui se respectent mutuellement dans un équilibre dynamique,
les intrus bouleversent cette organisation.
Parallèlement, il s'est établi à l'intérieur de la volière, des ordres de prépondérance et de
domination auxquels les intrus devront s'intégrer.
Chaque cas est, évidemment différent, mais tous ont un dénominateur commun, le nouvel
équilibre de l'installation est le résultat, entre autres, d'une conduite agressive qui peut
parfois signifier la mort d'un spécimen, selon l'espèce et la situation.
C'est bien entendu, avec les gros oiseaux au bec puissant et ceux qui se montrent
particulièrement belliqueux et batailleurs, qu'il faudra être prudent.
100507
Je peut vous donner quelques conseils utiles à titre d'information permettant de pallier
la situation.
Tout d'abord, il vaut mieux introduire les nouveaux- venus lorsque tous les oiseaux de la
volière sont rassasiés, c'est-à-dire de préférence en début d'après-midi, lorsque nos
compagnons réduisent leurs activités.
Les nouveaux-venus disposeront ainsi de quelques heures de clarté pour explorer leur
nouvelle installation.
De l'eau de boisson et de la nourriture doivent être tenus en abondance à disposition des
oiseaux, en quantité supérieure à celle prévue en principe pour tous les pensionnaires.
L'eau et les aliments seront répartis dans divers recoins afin d'en faciliter l'accès aux
nouveaux - venus, limitant les risques d'affrontement avec les résidents en place.
Il est également préférable que la volière dispose d'un nombre de perchoirs supérieurs
à celui des oiseaux afin que ceux-ci puissent commodément choisir leur place.
Il est parfois utile de loger les nouveaux-venus dans de petites cages que l'on place ensuite
à l'intérieur de la volière et qui leur permettent d'observer attentivement l'espace occupé
avant de commencer à faire connaissance, sans grand risque, avec les autres pensionnaires.
Au bout d'un certain temps, on libère les nouveaux à l'intérieur de la volière.
Ceux-ci seront forts de leur période de pré-acclimatation.
Lorsque l'on dispose d'installation annexes, on peut également y loger provisoirement les
anciens pensionnaires, afin de laisser les intrus seuls quelque temps, dans la volière.
Ils ont ainsi tout loisir pour reconnaître l'espace, information qui leur sera fort utile dès que
les anciens résidents réintégreront leur installation.
Chaque fois que c'est possible, il est préférable d'introduire les nouveaux-venus pendant
la saison qui suit la nidification et l'élevage des petits.
Il serait en effet trop délicat de le faire plus tôt, car l'agressivité serait bien plus exacerbée
et l'élevage risquerait d'aboutir à un échec.
située entre leur acquisition et le moment, indéterminé, où l'on considère qu'ils se sont bien
adaptés à leur nouvel environnement et que leur survie est assurée.
100496
L'un des meilleurs critères de l'acclimatation d'une espèce exotique est certainement la
nidification en captivité.
Chez les espèces non liées directement à l'élevage en captivité, l'effort que la nature déploie
pour assurer le phénomène de la reproduction, exige des conditions bien supérieures à celles
requises pour la survie.
Cette observation signifie que les oiseaux qui nichent sont des spécimens suivant un cycle
vital complet et que par conséquent, les reproducteurs sont des oiseaux sains et vigoureux.
100497
Une grande partie des amateurs se contente bien souvent d'abriter chez eux des spécimens
décoratifs ou de bons chanteurs, sans chercher pour autant à en faire l'élevage.
Les exigences sont alors moindres, et c'est ce que je vous propose de considérer maintenant.
La pratique de l'élevage d'oiseaux exotiques en cage proprement dite ne sera pas traitée ici.
L'acclimatation des oiseaux, période difficile, nécessite l'intervention de l'amateur.
Comme cette période signifie déplacement du sujet et modification de son environnement
le choix de l'individu est très important !
Il convient de consulter un spécialiste sur le type de cage appropriée, l'emplacement de celle-
ci, la présence d'autres oiseaux, le régime à suivre, la longévité probable et toute une
série de questions.
100498
Si vous devez acquérir des oiseaux chez des éleveurs limitrophes (Pays-Bas, Allemagne,
Angleterre, Canada, ...) il faut avant tout protéger les oiseaux contre de trop brusques
changements de température qui les affecteraient gravement.
On les habitueras progressivement à des températures plus tempérées, sans trop s'éloigner
toutefois de leur milieu naturel, afin de ne pas entraver leurs développements.
Signalons que certains pays exigent pour tout franchissement de frontière un certificat de
santé établit par un vétérinaire.
Une quarantaine est imposée aux oiseaux importés afin d'éviter la pénétration de maladies
infectieuses, dont ces espèces seraient porteuses, sur notre territoire.
Quelques temps avant d'entreprendre le voyage, il est bon d'administrer aux oiseaux une
solution vitaminique afin de renforcer ses mécanismes de défense.
La prudence est de bon conseil et l'on agira en tenant compte de l'espèce et de la situation
de départ.
100499
A envisager également, le recours à un antibiotique a large spectre, c'est-à-dire dont l'effet
porte sur divers types de micro-organismes.
Ceci permet, bien entendu, de protéger momentanément contre un grand nombre de maladies
infectieuses, mais comporte de graves inconvénients.
En effet, le corps des oiseaux et essentiellement leur système digestif abrite des colonies de
bactéries utiles qui risquent d'être détruites par ce type d'antibiotique au point que les
oiseaux en souffrent.
Par ailleurs, il est interdit d'administrer des médicaments aux oiseaux soumis à une
quarantaine, ceci afin d'éviter de masquer une maladie latente sous le couvert
d'antibiotiques ou de tout autres médicaments et qui pourrait se développer une fois l'oiseau
autorisé à pénétrer sur le territoire.
Pour de long trajet, si les oiseaux doivent voyager en avion, il est préférable de les loger
dans une petite cage plus ou moins rectangulaire dont les parois sont toutes en bois, sauf
une grillagée, qui sera bien rembourrée intérieurement et garnie de paille ou de sciure.
On veillera à déposer dans la cage quelques graines et une éponge imbibée d'eau, peu avant
le départ.
Les oiseaux, une fois dans leur nouvelle demeures, devront en règle générale, être laissés au
calme et ne pas être trop dérangés, précaution qui est de toute façon une règle d'or avec les
espèces exotiques.
Il faut résister à la tentation de les caresser et de passer la main à travers les barreaux, car
cela risquerait de provoquer un stress chez les plus sauvages d'entre eux.
Il faut savoir que les spécimens les plus farouches courent le risque de petites blessures ou
de fractures provoquées par les mouvements de panique car leurs extrémités sont
extrêmement délicates et leur plumage pourrait s'abîmer.
100501
je tiens à rappeler qu'il faut saisir un oiseau en plaçant la paume de la main sur son dos et en
refermant les 5 doigts sur ses ailes délicatement refermées.
Il ne faut jamais prendre un oiseau par une patte, elle risquerait bien vite de se fracturer.
Il faut en quelque sorte l'emprisonner et lui ôter toute possibilité de mouvement à l'exception
de la tête et éventuellement des pattes.
Il est bon de se documenter amplement sur les espèces que l'on possèdent.
Les nombreuses questions que l'on se pose, trouveront sans doute réponse sur le NET ou
dans un ouvrage ornithologique spécialisé, pourvu qu'on en fasse la recherche.
Dans le cas précis de l'acclimatation d'un oiseau exotique, connaître son mode de vie en
milieu naturel aidera à mieux le soigner et à faire face a toutes sortes d'éventualités.
Toute information transmise par d'autres amateurs chevronnés ou encore par l'oiseau
lui-même, deviendra un précieux outil.
Les piafs nouveaux-venus devront rester quelques jours dans des conditions de température,
de lumière et d'humidité constantes, afin que le nouveau propriétaire puisse observer leurs
réactions et s'assurer ensuite de leur adaptation progressive.
En ce qui concerne l'alimentation, au cours des premiers jours, il est inutile de suivre le
régime préconisé pour l'espèce choisie.
Il faut en revanche, veiller à présenter une nourriture très variée parmi laquelle l'oiseau
picorera ce que bon lui semble, ceci afin qu'il ne s'affaiblisse pas.
Ce n'est qu'ensuite qu'on l'habituera peu a peu aux aliments qui lui conviennent, en tenant
compte des conseils donnés.
Il n'est pas bon de vouloir que l'oiseau s'adapte très rapidement à un régime alimentaire
rigoureux.
100500
Un autre cas de figure impliquant également une acclimatation progressive, est celui de
l'introduction de nouveaux arrivants dans une volière ou quelques exemplaires d'une espèce
vivent avec bonheur depuis un certain temps.
L'arrivée des intrus suppose un phénomène d'acclimatation relativement complexe.
En effet, les nouveaux venus doivent accepter les anciens résidents et être acceptés à leur
tour par ceux-ci.
Comment peut-on résoudre dette situation ?
En fait, il n'existe guère de formule précise?
Prudence et patience sont les meilleures conseillères, mais il faut effectuer les présentations
à une période où l'on est suffisamment disponible pour pouvoir suivre le processus de façon
discrète mais vigilante et intervenir si cela devient nécessaire.
Une observation suivie des oiseaux et un peu de bon sens permettent de résoudre les
problèmes sans trop de difficultés.
100506
A supposer que la densité de la population de la volière ne soit pas un motif d'agression en
soi-même après l'introduction d'intrus.
Le phénomène qui intervient se situe en fait à deux niveaux : l'installation constitue un
espace occupé par des résidents qui l'ont divisé en territoires individuels, de couple, de
groupe ou de communautés qui se respectent mutuellement dans un équilibre dynamique,
les intrus bouleversent cette organisation.
Parallèlement, il s'est établi à l'intérieur de la volière, des ordres de prépondérance et de
domination auxquels les intrus devront s'intégrer.
Chaque cas est, évidemment différent, mais tous ont un dénominateur commun, le nouvel
équilibre de l'installation est le résultat, entre autres, d'une conduite agressive qui peut
parfois signifier la mort d'un spécimen, selon l'espèce et la situation.
C'est bien entendu, avec les gros oiseaux au bec puissant et ceux qui se montrent
particulièrement belliqueux et batailleurs, qu'il faudra être prudent.
100507
Je peut vous donner quelques conseils utiles à titre d'information permettant de pallier
la situation.
Tout d'abord, il vaut mieux introduire les nouveaux- venus lorsque tous les oiseaux de la
volière sont rassasiés, c'est-à-dire de préférence en début d'après-midi, lorsque nos
compagnons réduisent leurs activités.
Les nouveaux-venus disposeront ainsi de quelques heures de clarté pour explorer leur
nouvelle installation.
De l'eau de boisson et de la nourriture doivent être tenus en abondance à disposition des
oiseaux, en quantité supérieure à celle prévue en principe pour tous les pensionnaires.
L'eau et les aliments seront répartis dans divers recoins afin d'en faciliter l'accès aux
nouveaux - venus, limitant les risques d'affrontement avec les résidents en place.
Il est également préférable que la volière dispose d'un nombre de perchoirs supérieurs
à celui des oiseaux afin que ceux-ci puissent commodément choisir leur place.
Il est parfois utile de loger les nouveaux-venus dans de petites cages que l'on place ensuite
à l'intérieur de la volière et qui leur permettent d'observer attentivement l'espace occupé
avant de commencer à faire connaissance, sans grand risque, avec les autres pensionnaires.
Au bout d'un certain temps, on libère les nouveaux à l'intérieur de la volière.
Ceux-ci seront forts de leur période de pré-acclimatation.
Lorsque l'on dispose d'installation annexes, on peut également y loger provisoirement les
anciens pensionnaires, afin de laisser les intrus seuls quelque temps, dans la volière.
Ils ont ainsi tout loisir pour reconnaître l'espace, information qui leur sera fort utile dès que
les anciens résidents réintégreront leur installation.
Chaque fois que c'est possible, il est préférable d'introduire les nouveaux-venus pendant
la saison qui suit la nidification et l'élevage des petits.
Il serait en effet trop délicat de le faire plus tôt, car l'agressivité serait bien plus exacerbée
et l'élevage risquerait d'aboutir à un échec.