maloute45
15/10/2014, 17h18
LE COLIN DE CALIFORNIE - (Callipepla californica)
97273 97274
Ce Colin est un favori des amateurs d'oiseaux de volière, surtout pare qu'il se reproduit
très bien.
En Amérique on l'appelle aussi "Valey Quai" (Caille des vallées), et il paraît qu'on l'y chasse
beaucoup, car on a pu observer la diminution de sa population.
Quoique cette espèce peut très bien cohabiter avec divers oiseaux exotiques, même les
plus petits, elle ne supporte pas la présence d'autres Colins ou Cailles en période de nidification.
Il faudra le cas échéant donc prévoir une volière séparée par couple, car presque toutes
les Cailles sont agressives vis-à-vis des membres des membres de leur famille pendant la
saison des nids.
Presque toutes les revues ornithologiques donnent au mois annuellement quelques articles
au sujet de ces oiseaux.
97270972699727197272
De gauche à droite : Mâle - Femelle - Poussin - Couple
Lorsqu'ils vivent en liberté, ces oiseaux s'établissent dans les régions de haute altitude
à l'intérieur du pays, et vont jusqu'à 1500 mètres.
Très tôt au printemps, les grandes bandes de 50 à 100 sujets se dissolvent, et les couples
recherchent l'emplacement pour le nid.
Jadis les bandes de 300 oiseaux n'étaient pas rares, mais ces grands groupes ne se voient
plus actuellement et on fait même des efforts afin de ramener leur nombre à un plus haut
niveau.
Evidemment, il ne faudrait pas imputer aux ennemis naturels de l'espèce : renards, belettes,
chats sauvages et autours, de les avoir massacrés, ce sont surtout les chasseurs, abattant
ces oiseaux en masse, qui en sont responsables.
Puisque les couvées comportent de 12 à 20 œufs, on pourrait s'attendre à un maintien régulier
de l'espèce, en tenant compte du fait que les ennemis naturels en tuent peut être la moitié.
Les paysans et les produits toxiques agricoles viennent augmenter considérablement les pertes.
119456 119462 119463
Ces oiseaux qui, vivant en liberté, recherchent les régions les plus sèches au cours de l'été
humide, ne supportent pas non plus l'humidité lorsqu'ils sont en volière.
Tous les essais entrepris pour établir cette espèce dans la nature en Angleterre et en France
se sont soldés par un échec.
Il est préférable de laisser couver les parents, ce qui n'est possible que dans une volière
calme, où les oiseaux peuvent trouver un endroit bien abrité pour le nid, qui n'est qu'une
simple dépression dans le sol.
La femelle couve pendant 23 jours ses œufs.
Si l'on désire un plus grand nombre de jeunes, il faut enlever régulièrement les œufs dès
le début de la ponte, il se peut alors que la femelle en ponde jusqu'à 40 depuis mai à juillet.
Il est toujours préférable de lui laisser couver la dernière ponte, tout en faisant incuber
artificiellement les premiers œufs.
Parfois ceux-ci sont confiés à une poule naine, mais comme les œufs sont petits et fragiles,
la mère nourricière peut les casser ou étouffer plus tard les jeunes, qui ne sont pas plus
grand qu'un dé à coudre, il peut même arriver qu'elle les mange !
119436 119437
De bons résultats peuvent être obtenus en laissant couver la poule naine jusqu'à l'éclosion
des jeunes, qui seront ensuite placés dans une éleveuse artificielle.
Il vaut pourtant mieux de faire incuber ces œufs en couveuse, placée dans un local à
température constante.
Il faut veiller à ce que cette température soit de 38 à 39°, au cours des deux premières
semaines, il faut s'approcher des 38°, mais pour les 9 derniers jours, il faut certainement 39°
Le degré d'humidité est tout aussi important, au début il sera de 55%, pour remonter vers
les 10 derniers jours à 70% et plus encore la veille de l'éclosion.
Les œufs devront être retournés chaque jours, et en même temps aérés pendant 10 minutes.
Pendant que les œufs seront rassemblés, ce qui ne peut prendre que 14 jours au plus,
ceux-ci seront conservés dans une pièce fraîche et retournés tous les jours.
Afin de réunir un nombre d'œufs suffisant pour remplir la couveuse, il faut donc disposer
de 3 à 4 couples de Colins, dont les œufs seront réunis.
Il est à déconseiller de laisser incuber ensemble des œufs de dimensions différentes, parce
que ceux qui atteignent la plus grande hauteur absorberons le plus de chaleur.
Si malgré tout, il faut s'y résoudre, il sera bon de placer les petits œufs au milieu et de les
entourer des grands.
119438 119439 119440
La meilleure nourriture d'élevage pour la mère et les petits consiste en Pavot bleu, farine
d'élevage pour poussins et surtout des pupes de fourmis frais, ou à défaut de ces larves
déshydratées et trempées, qui ont pourtant une valeur nutritive diminuée.
Certains éleveurs y mélangent de la farine de poisson, d'autres confectionnent une pâtée
d'élevage comprenant de l'œuf dur, du pavot bleu et de la farine d'élevage pour faisans.
Il importe de ne pas oublier les verdures finement hachées : têtes d'orties, muflier, trèfle,
mouron ou feuilles de pissenlit.
Le menu journalier doit aussi comprendre de petits vers de farine ou de plus gros hachés.
L'eau de boisson doit être présentée en récipients très plats (pour éviter la noyade des poussins).
Après quelques jours on peut ajouter au régime du petit millet rond, ensuite un mélange
de graines et, suivant les possibilités, divers insectes et de petits vers de terre (lombrics).
Les asticots propres, les mouches déshydratées et les tubifex peuvent également jouer un
rôle dans l'élevage.
119457 119458
Si les poussins ont été incubés en couveuse, il faut leur donner un logement où ils auront
bien chaud.
Il est facile même pour un bricoleur non averti de fabriquer une éleveuse au moyen d'une
lampe chauffante pour poussins, et en employant une grande caisse comme logement.
Un calorique d'Elstein, que l'on peut trouver en 60/100 watt, donne une meilleure chaleur.
Il faut suspendre ces lampes chauffantes à bonne hauteur dans la caisse en mesurant
soigneusement la chaleur sur le fond.
La température à cet endroit ne doit pas dépasser les 39°C.
La calorique d'Elstein offre certainement des avantages et supprime aussi le dôme employé
pour une éleveuse ordinaire.
A mesure que les poussins grandissent, il faut les placer dans un logement de plus en plus
grand, tout en laissant allumée la lampe chauffante dans un coin.
A ce moment, une lampe de 100 watt, suspendue un peu plus haut, sera nécessaire, ainsi
elle chauffera un espace plus grand.
Lorsque les poussins ont froid, ils montrent leur mécontentement par des piaillements et
il faudra donc augmenter la chaleur.
En les gardant dans une température exagérée, on gâtera pourtant ces jeunes qui, plus tard
ne supporteront pas notre climat.
Après la deuxième semaine les poussins peuvent déjà se promener dans une volière au sol
en pelouse, à condition de leur donner la possibilité de retourner à volonté sous la lampe chauffante.
119460 119461 119435
Par mauvais temps, il est bon de les garder encore une semaine à l'intérieur.
An cas où des poussins d'âges différents sont rassemblés sous une lampe chauffante, il faut
contrôler si les plus petits peuvent manger à leur faim.
Comme les deux premières semaines sont d'une importance vitale, il faut absolument que les
poussins se trouvent alors en compagnie de jeunes du mêle âge.
Dès qu'ils sont devenus assez grands pour préférer, même le soir, percher en dehors des rayons
de la lampe chauffante, il n'y a plus lieu de craindre les difficultés.
Vers l'âge d'un mois, ils n'ont plus besoin de chauffage.
Comme la plupart des Cailles, on distingue nettement mâle et femelle, et c'est là une raison
de plus pour rendre cet élevage attrayant.
Dès que les jeunes acquièrent leur vrai plumage, on peut déjà les sexer.
119472
En Amérique, l'élevage de ces Colins est pratiqué sur une grande échelle, pour des fins gastronomiques… et non pour l'amour des oiseaux !
Beaucoup de Cailles peuvent loger en volière extérieure hiver comme été, à condition qu'elles
ne doivent pas supporter un froid au-delà de -5°C.
Il faut pouvoir les rentrer en hiver pour la nuit, et par forte gelée il sera nécessaire de leur
procurer une lampe chauffante à proximité de l'endroit où elles perchent.
Par temps pluvieux, il vaut mieux les rentrer aussi.
Je me suis étendu un peu au sujet de cet élevage, parce que le Colin de Californie est avec
la Caille de Chine parmi les espèces les plus souvent élevées.
Mais aussi dans le souci de donner le plus d'infos possible pour nos membres désireux
d'entreprendre l'élevage de ces oiseaux.
L'élevage des autres espèces se pratique en grande lignes de la même façon, quoique les
résultats ne sont pas toujours satisfaisants.
119470 119466 119467 119469
Il existe deux autres variétés de Colin de Californie, dont l'une à la côte Sud-Ouest de l'Orégon ( Callipepla californica brunnescens) qui est de teinte brun foncé et l'autre sur l'île Santa Catalina (Callipepla californica catalinensis) qui est un peu plus grande.
De nombreux croisements ont été réalisés en volière, je ne mentionnerai que les 4 plus importants :
"le Colin écaillé" (Callipepla squamata), "le Colin de Virginie" (Colinus virginianus),
"le Colin élégant" (Callipepia douglasii), "le Colin de Gambel" (Callipepla gambelii) .
Ce dernier doit son nom en l'honneur accordée à William Gambel, un naturaliste et explorateur du sud-ouest des États-Unis au XIXe siècle.
mal@#te45.
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Ce Colin est un favori des amateurs d'oiseaux de volière, surtout pare qu'il se reproduit
très bien.
En Amérique on l'appelle aussi "Valey Quai" (Caille des vallées), et il paraît qu'on l'y chasse
beaucoup, car on a pu observer la diminution de sa population.
Quoique cette espèce peut très bien cohabiter avec divers oiseaux exotiques, même les
plus petits, elle ne supporte pas la présence d'autres Colins ou Cailles en période de nidification.
Il faudra le cas échéant donc prévoir une volière séparée par couple, car presque toutes
les Cailles sont agressives vis-à-vis des membres des membres de leur famille pendant la
saison des nids.
Presque toutes les revues ornithologiques donnent au mois annuellement quelques articles
au sujet de ces oiseaux.
97270972699727197272
De gauche à droite : Mâle - Femelle - Poussin - Couple
Lorsqu'ils vivent en liberté, ces oiseaux s'établissent dans les régions de haute altitude
à l'intérieur du pays, et vont jusqu'à 1500 mètres.
Très tôt au printemps, les grandes bandes de 50 à 100 sujets se dissolvent, et les couples
recherchent l'emplacement pour le nid.
Jadis les bandes de 300 oiseaux n'étaient pas rares, mais ces grands groupes ne se voient
plus actuellement et on fait même des efforts afin de ramener leur nombre à un plus haut
niveau.
Evidemment, il ne faudrait pas imputer aux ennemis naturels de l'espèce : renards, belettes,
chats sauvages et autours, de les avoir massacrés, ce sont surtout les chasseurs, abattant
ces oiseaux en masse, qui en sont responsables.
Puisque les couvées comportent de 12 à 20 œufs, on pourrait s'attendre à un maintien régulier
de l'espèce, en tenant compte du fait que les ennemis naturels en tuent peut être la moitié.
Les paysans et les produits toxiques agricoles viennent augmenter considérablement les pertes.
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Ces oiseaux qui, vivant en liberté, recherchent les régions les plus sèches au cours de l'été
humide, ne supportent pas non plus l'humidité lorsqu'ils sont en volière.
Tous les essais entrepris pour établir cette espèce dans la nature en Angleterre et en France
se sont soldés par un échec.
Il est préférable de laisser couver les parents, ce qui n'est possible que dans une volière
calme, où les oiseaux peuvent trouver un endroit bien abrité pour le nid, qui n'est qu'une
simple dépression dans le sol.
La femelle couve pendant 23 jours ses œufs.
Si l'on désire un plus grand nombre de jeunes, il faut enlever régulièrement les œufs dès
le début de la ponte, il se peut alors que la femelle en ponde jusqu'à 40 depuis mai à juillet.
Il est toujours préférable de lui laisser couver la dernière ponte, tout en faisant incuber
artificiellement les premiers œufs.
Parfois ceux-ci sont confiés à une poule naine, mais comme les œufs sont petits et fragiles,
la mère nourricière peut les casser ou étouffer plus tard les jeunes, qui ne sont pas plus
grand qu'un dé à coudre, il peut même arriver qu'elle les mange !
119436 119437
De bons résultats peuvent être obtenus en laissant couver la poule naine jusqu'à l'éclosion
des jeunes, qui seront ensuite placés dans une éleveuse artificielle.
Il vaut pourtant mieux de faire incuber ces œufs en couveuse, placée dans un local à
température constante.
Il faut veiller à ce que cette température soit de 38 à 39°, au cours des deux premières
semaines, il faut s'approcher des 38°, mais pour les 9 derniers jours, il faut certainement 39°
Le degré d'humidité est tout aussi important, au début il sera de 55%, pour remonter vers
les 10 derniers jours à 70% et plus encore la veille de l'éclosion.
Les œufs devront être retournés chaque jours, et en même temps aérés pendant 10 minutes.
Pendant que les œufs seront rassemblés, ce qui ne peut prendre que 14 jours au plus,
ceux-ci seront conservés dans une pièce fraîche et retournés tous les jours.
Afin de réunir un nombre d'œufs suffisant pour remplir la couveuse, il faut donc disposer
de 3 à 4 couples de Colins, dont les œufs seront réunis.
Il est à déconseiller de laisser incuber ensemble des œufs de dimensions différentes, parce
que ceux qui atteignent la plus grande hauteur absorberons le plus de chaleur.
Si malgré tout, il faut s'y résoudre, il sera bon de placer les petits œufs au milieu et de les
entourer des grands.
119438 119439 119440
La meilleure nourriture d'élevage pour la mère et les petits consiste en Pavot bleu, farine
d'élevage pour poussins et surtout des pupes de fourmis frais, ou à défaut de ces larves
déshydratées et trempées, qui ont pourtant une valeur nutritive diminuée.
Certains éleveurs y mélangent de la farine de poisson, d'autres confectionnent une pâtée
d'élevage comprenant de l'œuf dur, du pavot bleu et de la farine d'élevage pour faisans.
Il importe de ne pas oublier les verdures finement hachées : têtes d'orties, muflier, trèfle,
mouron ou feuilles de pissenlit.
Le menu journalier doit aussi comprendre de petits vers de farine ou de plus gros hachés.
L'eau de boisson doit être présentée en récipients très plats (pour éviter la noyade des poussins).
Après quelques jours on peut ajouter au régime du petit millet rond, ensuite un mélange
de graines et, suivant les possibilités, divers insectes et de petits vers de terre (lombrics).
Les asticots propres, les mouches déshydratées et les tubifex peuvent également jouer un
rôle dans l'élevage.
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Si les poussins ont été incubés en couveuse, il faut leur donner un logement où ils auront
bien chaud.
Il est facile même pour un bricoleur non averti de fabriquer une éleveuse au moyen d'une
lampe chauffante pour poussins, et en employant une grande caisse comme logement.
Un calorique d'Elstein, que l'on peut trouver en 60/100 watt, donne une meilleure chaleur.
Il faut suspendre ces lampes chauffantes à bonne hauteur dans la caisse en mesurant
soigneusement la chaleur sur le fond.
La température à cet endroit ne doit pas dépasser les 39°C.
La calorique d'Elstein offre certainement des avantages et supprime aussi le dôme employé
pour une éleveuse ordinaire.
A mesure que les poussins grandissent, il faut les placer dans un logement de plus en plus
grand, tout en laissant allumée la lampe chauffante dans un coin.
A ce moment, une lampe de 100 watt, suspendue un peu plus haut, sera nécessaire, ainsi
elle chauffera un espace plus grand.
Lorsque les poussins ont froid, ils montrent leur mécontentement par des piaillements et
il faudra donc augmenter la chaleur.
En les gardant dans une température exagérée, on gâtera pourtant ces jeunes qui, plus tard
ne supporteront pas notre climat.
Après la deuxième semaine les poussins peuvent déjà se promener dans une volière au sol
en pelouse, à condition de leur donner la possibilité de retourner à volonté sous la lampe chauffante.
119460 119461 119435
Par mauvais temps, il est bon de les garder encore une semaine à l'intérieur.
An cas où des poussins d'âges différents sont rassemblés sous une lampe chauffante, il faut
contrôler si les plus petits peuvent manger à leur faim.
Comme les deux premières semaines sont d'une importance vitale, il faut absolument que les
poussins se trouvent alors en compagnie de jeunes du mêle âge.
Dès qu'ils sont devenus assez grands pour préférer, même le soir, percher en dehors des rayons
de la lampe chauffante, il n'y a plus lieu de craindre les difficultés.
Vers l'âge d'un mois, ils n'ont plus besoin de chauffage.
Comme la plupart des Cailles, on distingue nettement mâle et femelle, et c'est là une raison
de plus pour rendre cet élevage attrayant.
Dès que les jeunes acquièrent leur vrai plumage, on peut déjà les sexer.
119472
En Amérique, l'élevage de ces Colins est pratiqué sur une grande échelle, pour des fins gastronomiques… et non pour l'amour des oiseaux !
Beaucoup de Cailles peuvent loger en volière extérieure hiver comme été, à condition qu'elles
ne doivent pas supporter un froid au-delà de -5°C.
Il faut pouvoir les rentrer en hiver pour la nuit, et par forte gelée il sera nécessaire de leur
procurer une lampe chauffante à proximité de l'endroit où elles perchent.
Par temps pluvieux, il vaut mieux les rentrer aussi.
Je me suis étendu un peu au sujet de cet élevage, parce que le Colin de Californie est avec
la Caille de Chine parmi les espèces les plus souvent élevées.
Mais aussi dans le souci de donner le plus d'infos possible pour nos membres désireux
d'entreprendre l'élevage de ces oiseaux.
L'élevage des autres espèces se pratique en grande lignes de la même façon, quoique les
résultats ne sont pas toujours satisfaisants.
119470 119466 119467 119469
Il existe deux autres variétés de Colin de Californie, dont l'une à la côte Sud-Ouest de l'Orégon ( Callipepla californica brunnescens) qui est de teinte brun foncé et l'autre sur l'île Santa Catalina (Callipepla californica catalinensis) qui est un peu plus grande.
De nombreux croisements ont été réalisés en volière, je ne mentionnerai que les 4 plus importants :
"le Colin écaillé" (Callipepla squamata), "le Colin de Virginie" (Colinus virginianus),
"le Colin élégant" (Callipepia douglasii), "le Colin de Gambel" (Callipepla gambelii) .
Ce dernier doit son nom en l'honneur accordée à William Gambel, un naturaliste et explorateur du sud-ouest des États-Unis au XIXe siècle.
mal@#te45.