maloute45
17/08/2008, 18h11
Un "Moineau vert" avec un galon jaune sur le bord de l'aile fermée,tel est son aspect général.
En effet,sa taille est à peu près celle du "*pierrot",la teinte pâle de son fort bec conique,le beau vert olive du plumage - bronzé sur le dos,jauni au croupion,plus doré à la gorge.
Les marques jaunes d'or qui brillent sur les ailes et aux côtés de la queue,le distinguent de tout autre oiseau indigène.
Ces derniers caractères sont aussi distinctifs chez les jeunes en livrée brune et rayée,comme chez la femelle,plus terne que le mâle.
La silhouette assez lourde du Verdier,sa placidité confortable et sans grâce,son avidité de gros mangeur en font pour nous un être plutôt prosaïque.
Surtout en hiver,quand nous le voyons de près et dans un plumage sans éclat.
A la belle saison quand ses couleurs se sont avivées,l'oiseau vert se confond si bien avec le feuillage que son intimité nous échappent.
C'est en automne que son tempérament sociable et vagabond se manifeste avec le plus d'intensité.
Ses troupes fourragent dans les champs et les haies,adoptent volontiers des routines journalières tant que dure l'exploitation du secteur restreint,qui les retient pour un temps,puis ellestransfèrent leurs habitudes vers d'autres gagnages,selon la coutume des Fringillidés.
Les Verdiers font bon ménage avec les Friquets,Bruants et Pinsons qui hantent les mêmes terrains,mais ils ne se mêlent pas intimement à leurs essaims,à moins que leur propre nombre soit insuffisant au maintien de leur indépendance sociale.
Assez tôt le soir,ils se réfugient dans de buisson touffu,du lierre où encore dans une haie qu'ils ont élus pour passer la nuit.
(*"Pierrot") = mot en jargon (Wallon) qui signifie "Moineau".
En effet,sa taille est à peu près celle du "*pierrot",la teinte pâle de son fort bec conique,le beau vert olive du plumage - bronzé sur le dos,jauni au croupion,plus doré à la gorge.
Les marques jaunes d'or qui brillent sur les ailes et aux côtés de la queue,le distinguent de tout autre oiseau indigène.
Ces derniers caractères sont aussi distinctifs chez les jeunes en livrée brune et rayée,comme chez la femelle,plus terne que le mâle.
La silhouette assez lourde du Verdier,sa placidité confortable et sans grâce,son avidité de gros mangeur en font pour nous un être plutôt prosaïque.
Surtout en hiver,quand nous le voyons de près et dans un plumage sans éclat.
A la belle saison quand ses couleurs se sont avivées,l'oiseau vert se confond si bien avec le feuillage que son intimité nous échappent.
C'est en automne que son tempérament sociable et vagabond se manifeste avec le plus d'intensité.
Ses troupes fourragent dans les champs et les haies,adoptent volontiers des routines journalières tant que dure l'exploitation du secteur restreint,qui les retient pour un temps,puis ellestransfèrent leurs habitudes vers d'autres gagnages,selon la coutume des Fringillidés.
Les Verdiers font bon ménage avec les Friquets,Bruants et Pinsons qui hantent les mêmes terrains,mais ils ne se mêlent pas intimement à leurs essaims,à moins que leur propre nombre soit insuffisant au maintien de leur indépendance sociale.
Assez tôt le soir,ils se réfugient dans de buisson touffu,du lierre où encore dans une haie qu'ils ont élus pour passer la nuit.
(*"Pierrot") = mot en jargon (Wallon) qui signifie "Moineau".